domingo, 8 de junho de 2008

Quand la logique est vaincue par le vent de la mer

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Il y a des fois comme ça où il arrivent des choses auxquelles on n'a même pas rêvé, parce que l'on fait des calcules, des previsions, on attache le future avec des cordes bien solides, surtout pour ne pas avoir des surprises, et on se couche le soir avec le coeur en paix croyant savoir ce que le lendemain va nous ramener. Mais, mais. Très souvent les plans si bien dessinés, avec un petit coup de vent reçu sur la figure au coin d'une ruelle quelconque, deviennent des petits rêves innutiles, se dégonflent plus vite qu'un ballon echappant des mans d'un enfant. Et toutes les heures passées à composer une vie ordonnée et stable sont vite oubliées, entraînées par cette brise rafraîchissante qui arrive, comme toujours, de la mer; l'air qui frôle l'eau salée se sature d'iode, de l'odeur des coques tout juste sortis du sable et, bien sûr, de nouveaux plans que viennent, au coin d'une ruelle quelconque, buter contre ton cerveau pour réduire au néant tout ce qui était bâtit avec les briques stérilisées de la logique et le bon sens.

4 comentários:

Anabela Magalhães disse...

C`est vraie. C`est la vie. Heureusement. Heureusement.

Anónimo disse...

somriures, mil somriures
meu rui rei
como odio o fransés... pero a ti odioche ainda mais... se cabe...
benvidos todos os ventos, se fan que o pelo se me arremuiñe, e as meixelas se me poñan coloradas de vergoña e de desexo!
bendito quen o goce conmigo!

rui disse...

Toujours si poétique, toujours à maîtriser l'écriture de cette manière si douce à mes yeux. Bemvindos sejam esses ventos inimigos da ração. Porque a razón tamén se equivoca. Que la percussió et porti moltes alegries i que creus aviat el teu blog per a seguir lleguint-te. Eskutitz bat eta liburu bi eman behar dizut, ez dut ahaztuko!

Paz Zeltia disse...

que malo o traductor de francés que atopei!

(que tal a próxima unha traducción do autor no primeiro coment, par example, digo eu por fomentar a miña nogalla xenética)